Les Chroniques D'Alaman
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 Chapitre 2: Les Légions d'acier

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MessageSujet: Chapitre 2: Les Légions d'acier   Chapitre 2: Les Légions d'acier Icon_minitimeMer 28 Mar - 14:04

La terre avait tremblé. Cela avait été le premier signe, l'annonciation de la fin d'une ère. Comme les trompettes de l'Empereur résonnant avant un Exterminatus, le monde c'était mis à trembler sur ses fondations et la terre à se déchirer. Les premières secousses avaient été subtiles, à peine perceptible, comme si un tas d'insectes c'était éveillés sous la peau de la planète. Les soldats et cultistes qui patrouillaient dans les grandes cités forges, sur les passerelles de garde ou dans les centres industrielles avaient levés les yeux au ciel. Somala restait en état de guerre permanente et une invasion pouvait avoir lieu à n'importe quel moment. Même si le Tyran avait enfoncé la porte Alamanienne avec le plus gros de ses forces, l'Impérium pouvait, à tout moment, lancer une contre offensive. Un assaut planétaire débuterait certainement par un bombardement orbital qui ferait trembler la croute terrestre. Le ciel s'éclairerait alors de centaines d'étoiles et de soleils qui, comme autant d'araignées, tisseraient les fils de lumières annonçant la destruction assurée des forteresses et places forte de la légion. Certains, parmi les cultistes, avaient observé l'horizon de sables et de bâtiments industriels en quête d'un champignon de poussière. Mais les grandes forges étaient restés indemnes, nul étoile de mort dans le ciel mauve et pâle de Somala, nul vent de poussière, nul grondement poussé par la guerre. Puis les secousses avaient enflés.

Le sol c'était déchiré, entrainant dans de larges failles des cascades de sables et avalant des pans entiers du métal dont était fait les forges et les cités industrielles. Des explosions avaient retentit tandis que les centres métallurgiques, grands comme des pays, avaient été englouties par les fissures qui déchiraient l'épiderme de Somala. Les cultistes et les légionnaires de la croisade restés pour défendre le monde cherchèrent la menace mais comprirent trop tard d'où elle venait. Nul n'aurait pu s'attendre à ceci car seul celui ayant vécus un milliard d'années aurait pu connaître les secrets de cette planète.

Alors les flèches des cités antiques, les pyramides éternelles d'un noir d'obsidienne, les monolithes immenses déchirèrent le monde comme les doigts d'une créature éventrant son hôte. Chaque tour, chaque monument, chaque temple se mit à échapper au monde forge en se dressant dans les sables antiques dans des cascades de poussière et des rivières de laves. Les vents du temps se mirent à souffler alors que les architectures repoussaient l'espace en détruisant les structures plus récentes, des tempêtes se mirent à hurler en soufflant un sable coupant sur toute la planète. Des aurores boréales brutalisèrent le ciel de leur couleur verte et maladive. Des millions d'hectares s'effondrèrent pour redonner leur place légitime aux anciennes bâtisses d'une civilisation endormie.

Pendant les heures qui suivirent un silence de cimetière était tombé sur Somala. Seul l'agitation de cultistes et de légionnaires de la Croisade vertueuse s'agitaient dans les paysages dévastés des forges incendiés, et des terres crevassés. Les Marines commençaient déjà à se réorganiser préparant une défense contre un ennemis qu'il devinaient déjà, mais la plus part des esclaves qu'ils avaient convertis étaient complétement perdus essayant de reprendre des contacts ou de se regrouper à des points de ralliements qui n'existaient plus.

Les immenses structures noirs se mirent à briller d'un vert mauvais, pulsant comme un cœur qui se remettrait à battre trop lentement. Alors les cornes de la guerre se mirent à vrombirent d'un son puissant, grave et si fort qu'il semblait venir du ciel lui même. Toute la planète subit la plainte des cornes qui sonnaient d'un souffle si puissant que des tempêtes de sables se levèrent aux quatre coins du monde. Puis les même lueurs que celles de l'aurore boréale illuminèrent les nuages de sables que soulevait le son des trompettes. Alors elle cessèrent et furent remplacer par un autre son. Beaucoup des cultistes, dont certains avaient combattu à Sasnak, ou aux portes d'airain de la forge principale, prirent ça pour le son de tambour immenses que l'on battait à un rythme guerrier. Mais les légionnaires du Tyran, eux, savaient, que c'était le bruit d'un milliard de pas tapant le sol dans une synchronisation parfaite. Alors Somala se remit à trembler, mais cette fois c'était par la marche des Légions qui avaient autre fois régner sur ce monde. Les légions d'acier des Nécrons avançait vers la guerre car il leur fallait récupérer le minerais dont recélait le sol de la planète afin de restaurer le règne qui fut le leur des millions d'années avant l'avènement de l'Imperium ou celui de l'Hérésie d'Horus.
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